Comme un roman
Benjamin DUQUENNE
Directeur de Chouette Coop (ex. Book Hémisphères)
Donner une seconde vie aux livres
France Active Bretagne nous a accompagnés dans le cadre d’un DLA, Dispositif Local d’Accompagnement, (…) et a fait venir un cabinet de gestion pour nous montrer nos faiblesses et voir aussi quelles étaient nos forces pour pouvoir avancer dans l’activité. Ça a été extrêmement utile, sans ça je pense qu’on serait mort.
Kervignac (Morbihan) et Carhaix (Finistère)
Donner une seconde vie aux livres
Benjamin Duquenne a fait de sa passion pour les livres un métier. Il est aujourd’hui à la tête d’une entreprise locale engagée socialement. Si l’idée de vendre des livres semble simple, il a dû surmonter des obstacles pour créer un modèle de société qui porte ses valeurs.
Le long fleuve n’est toujours pas tranquille pour le dirigeant qui diversifie maintenant ses produits et se lance dans une nouvelle aventure avec Chouette Coop.
Prologue
Tout jeune, Benjamin Duquenne commence à accumuler les livres. Au fil des années, il se constitue une bibliothèque conséquente. Forcément, ça le fait réfléchir. Et s’il vivait de sa passion ?
En 2001, il crée Livrenpoche, un site spécialisé dans les formats poche d’occasion. Les piles de livres se multiplient, elles envahissent peu à peu toutes les pièces de sa maison, puis la maison de ses parents. Il doit acheter un premier entrepôt.
Le site internet propose des milliers de références dans tous les genres littéraires. Benjamin Duquenne reste proche des clients et leur apporte des réponses personnalisées. Livrenpoche trace sa route.
Seul bémol, l’activité professionnelle prend le pas sur la passion. En 2009, il se rend compte que la lecture lui échappe : il n’a plus le temps ni de lire ni de partager.
Le gérant de SARL crée alors Book Hémisphères. L’association à but non lucratif entend fédérer autour du livre en proposant des animations pour faciliter l’accès à la lecture et les partages.
L’idée d’un rapprochement entre les deux structures s’impose naturellement. Le format SCIC (société coopérative d’intérêt collectif) semble adapté pour regrouper l’entreprise et l’association.
Nouveaux chapitres
Des obstacles émergent cependant. Comment associer des salariés et des bénévoles dans un projet commun ? Comment se sortir des difficultés administratives inhérentes à l’évolution des deux activités ?
Benjamin Duquenne frappe à la porte de France Active Bretagne qui l’accompagne dans le cadre d’un DLA, Dispositif Local d’Accompagnement. Un cabinet de gestion est missionné : il fait le bilan des faiblesses et des forces en présence. Une synergie se crée. Book Hémisphères, nouvelle version, sabre le champagne en 2019.
Les débuts sont difficiles, mais l’engagement de l’entrepreneur est sans faille. Il porte le projet à bras le corps et motive l’équipe. Jamais il ne perd de vue l’objectif principal : vendre des livres pour créer des emplois et aider à l’insertion. Il n’ambitionne pas de devenir Jeff Bezos. Pour lui la dimension territoriale prime. Le ton est donné.
Depuis le COVID, la concurrence est difficile à encaisser. Benjamin Duquenne doit s’engager sur la voie de la diversification.
Aux livres de poche s’ajoutent d’autres produits culturels : DVD, vinyles, jeux vidéos, etc. Mais aussi une recyclerie pour les vêtements et objets du quotidien. En dehors du site internet et des deux boutiques de Kervignac et Carhaix, il y a désormais des points de collecte qui permettent de couvrir une partie du territoire breton.
Pour fêter ces nouveautés, Book Hemisphères devient Chouette COOP. L’aventure continue.
A bénéficié des
Avec
des garanties d’un total de
40 000€
des investissements d’un total de
55 000€
un accompagnement
DLA
A été accompagné par
France Active Bretagne
En 2020
En 2022
C’est ici ?
Autres stories
[bloc_ajax params="{count:7,ess:0}"]
Toutes les stories
Comme à la maison, un bistrot à tartine adapté au cœur de Vitré
Lydia LEONARD SINAN
Gérante de Comme à la maison
Restaurant traditionnel et entreprise adaptée
Très vite j’ai rencontré Magalie Jauron de France Active Bretagne. L’association a garanti mon prêt, ce qui a rendu les choses beaucoup plus faciles avec la banque. France Active est toujours là pour nous, même sur le long terme.
Comme à la maison, un bistrot à tartine adapté au cœur de Vitré
Vitré (Ille-et-Vilaine)
Restauration traditionnelle et entreprise adaptée
“Comme à la maison”, un restaurant récemment repris par Lydia Léonard Sinan qui lui permet d’allie sa passion pour le contact humain et son engagement envers l’inclusion des personnes en situation de handicap.
Bien plus qu’un restaurant, Comme à la Maison favorise l’épanouissement professionnel de personnes en situation de handicap tout en proposant des produits de qualité et en privilégiant les circuits-courts. « On travaille tous ensemble et on trouve un équilibre pour que tout le monde soit bien dans son poste. Aujourd’hui ce n’est plus le salaire qui me motive, je suis proche de l’action et c’est ce que je voulais ! » souligne la restauratrice.
Du sanitaire et social à la restauration
Lydia a passé 18 ans de sa carrière dans le secteur médico-social en tant que comptable au sein d’une association qui proposait des services aux adultes en situation de handicap. Elle a évolué vers un poste de responsable administratif et financier avant d’opter pour une rupture conventionnelle. « C’est le lien humain qui me manquait ces dernières années », nous confie-t-elle, son association ayant fusionnée avec une grande structure.
En janvier 2023, elle se lance dans son projet de restauration en commençant par effectuer un stage grâce à un dispositif de Pôle Emploi, où elle a appris les métiers de serveuse.
Aujourd’hui, elle est gérante du restaurant, elle a parfaitement réussi sa transition vers ce nouveau métier.
« Je ne regrette pas du tout ma décision, je suis satisfaite de ce que je fais chaque jour. Je ne m’attendais pas à vivre une aventure aussi belle en quittant mon précédent travail. Bien que la question financière puisse susciter des préoccupations, nous gérons nos actions de manière stratégique pour maintenir un équilibre »
“Comme à la maison” propose une cuisine familiale. A la carte de ce bistrot et en plus des tartines, le chef propose un plat selon l’inspiration du moment et les saisons. On pourra trouver une joue de porc sauce au poivre, un dos de cabillaud au beurre basilic et pommes de terre vapeur, parfois un burger-frites ou un fish and chips pour les enfants… Le restaurant est ouvert chaque midi en semaine, le vendredi soir et le samedi midi en format bistrot. 3 salariés y travaillent dont 2 en situation de handicap. Ensemble, ils proposent jusqu’à 45 repas par jour.
L’accompagnement des personnes en situation de handicap au sein de ce restaurant va au-delà de la gestion quotidienne. Lydia s’investit activement à résoudre les éventuelles difficultés, collaborant étroitement avec des éducateurs et des psychologues pour leur assurer un soutien global. Son restaurant offre également des opportunités d’accueil de stagiaires, favorisant ainsi l’intégration professionnelle et la formation au sein de son équipe.
Pour la reprise de l’activité du restaurant, Lydia Leonard Sinan a rencontré France Active Bretagne. L’association lui a ouvert la voie en octroyant une garantie de prêt, ce qui a facilité l’engagement des banques.
Ses projets à moyen et long terme :
Grâce à la DREETS (Direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités), Lydia a répondu à un appel à projets qui permettrait d’élargir la palette de compétences des salariés et d’accompagner davantage de personnes en situation de handicap. Elle prévoit également de réaménager sa cuisine pour avoir plus d’espace de travail et éventuellement ouvrir d’autres lieux à moyen terme.
Un partenariat avec les établissements du médico-social est primordial pour les entreprises adaptées.
Un conseil pour un entrepreneur qui souhaite se lancer ?
« Je lui dirais de foncer et de croire en son projet. Je suis prête à aider les gens autour de moi sur le montage de leurs projets car nous avons tous besoin les uns des autres pour réussir. » conclut-elle.
https://www.youtube.com/watch?v=hcpxcBkcOXM
Facebook
A bénéficié du
Avec
plusieurs garanties d’un total de
50 000€
A été accompagné par
France Active Bretagne
En 2022
C’est ici ?
Autres stories
[bloc_ajax params="{count:7,ess:0}"]
Toutes les stories
Une seconde vie au matériel de puériculture
Séverine INKERMAN
CEO et Co-fondatrice de Tikoantik
Conseil et vente de matériel de puériculture reconditionné
Chaque année, des millions d’objets de puériculture sont achetés neufs en France. Ils proviennent majoritairement d’Asie. Séverine Inkerman souhaite proposer une alternative juste et durable en remettant dans le circuit du matériel nettoyé et vérifié à moindre prix.
Lorient (Bretagne)
Conseil et vente de matériel de puériculture reconditionné
Chaque année, des millions d’objets de puériculture sont achetés neufs en France. Ils proviennent majoritairement d’Asie. Séverine Inkerman souhaite proposer une alternative juste et durable en remettant dans le circuit du matériel nettoyé et vérifié à moindre prix. Le principe est simple : un rendez-vous permet aux futurs parents de faire le point sur leurs besoins en termes de matériel pour accueillir leur enfant. A partir de cette liste, ils peuvent acheter en ligne sur le site de l’entreprise Tikoantik et recevoir la marchandise chez eux. L’idée de création de cette entreprise a germé en 2021, en pleine pandémie de covid 19. Un petit groupe de parents, intéressés par l’économie circulaire, s’est formé pour réfléchir à une alternative d’achat au matériel de puériculture neuf. A l’arrivée du premier enfant notamment, les parents ont besoin de conseils, de contrôle qualité et de garantie. C’est ce que propose Tikoantik. https://vimeo.com/801289687A travers ce projet, Séverine Inkerman a souhaité mettre en place un véritable écosystème local de l’Economie sociale et solidaire : elle travaille avec l’Esat Alter Ego pour le nettoyage du matériel et avec l’entreprise d’insertion Book Hémisphères pour la partie logistique et envoi des produits. Les objets sont à destination des parents mais aussi des professionnels de la petite enfance (comme les responsables de crèches par exemple)En parallèle, Tikoantik travaille aussi sur l’accompagnement aux changements de pratiques en lien avec la transition et l’éco-parentalité à travers des ateliers de sensibilisation et des évènements.Pour monter son projet, Séverine Inkerman a été accompagnée par France Active dans le cadre du dispositif Place de l’émergence. « Ce qui a été le plus précieux dans l’accompagnement de France Active c’est le regard extérieur bienveillant et exigeant sur le projet » nous confie-t-elle.
Site internet
A bénéficié des
Avec
une garantie de
33 000€
le programme Place de l’émergence pour
10 000€
A été accompagnée par
France Active Bretagne
Et soutenue par
Caisse des Dépôts
En 2022
C’est ici ?
Autres stories
[bloc_ajax params="{count:7,ess:0}"]
Toutes les stories
Emplois industriels et adaptés d’avenir en Bretagne
Daniel LAFRANCHE
Directeur général de Bretagne Ateliers
Entreprise industrielle adaptée
La 1ère entreprise industrielle adaptée de France a levé plus de 5 millions € pour pérenniser et développer l’emploi local.
35 230 Noyal-Chatillon-sur-Seiche
Entreprise industrielle adaptée
Surmonter la crise dans un secteur durement touché
Pas facile de surmonter la crise Covid quand on fait 50 % de son chiffre d’affaires dans l’automobile et le reste dans l’aéronautique ou le ferroviaire. Pas facile non plus de penser diversification, innovation ou création d’emplois quand l’industrie est à la peine et que la relance tarde à venir. « Pas facile mais vital, déclare Daniel Lafranche, directeur général de Talendi (ex Bretagne Ateliers), parce que 550 salariés et usagers, dont 420 en situation de handicap, comptent sur nous. S’ils perdent leur emploi, ils n’en retrouveront pas forcément ailleurs ». Des salariés souvent abimés par la vie que Talendi, la 1ère entreprise industrielle adaptée de France, accompagne depuis plus de 45 ans, inversant la spirale de l’échec et cultivant l’excellence jusqu’à obtenir le label Vitrine Industrie du Futur. La plupart de ces salariés travaillent au sein de 4 usines et 2 ESAT (Etablissement et Service d’Aide par le Travail), pour de grands noms de l’industrie comme Stellantis (PSA), mais aussi Alstom, Airbus ou Schneider Electric. L’entreprise s’est en outre depuis une dizaine d’années lancée dans des activités tertiaires et numériques.
Elargir ses horizons en solidaire
Car la diversification, l’innovation et le développement ont toujours été ses maîtres mots. Talendi a par exemple investi récemment dans un procédé de soudure révolutionnaire, mis au point par la start-up bretonne Stirweld. Elle compte également transposer son savoir-faire en assemblage de grandes séries, pour produire des pièces en moindre quantité tout en restant compétitive. « A l’heure où la France affiche sa volonté de relocaliser ses activités industrielles, nous entendons bien faire partie du jeu et créer 100 emplois de plus. Mais pour cela, il faut des fonds. Des fonds pour pouvoir investir très vite sans être obligé de mettre en place un tour de table ou d’aller voir des banques, explique Daniel Lafranche. Des fonds aussi pour assainir nos finances, après avoir perdu 30 % de notre chiffre d’affaires en 2020 ».
Miser sur les financeurs engagés
Les 5,2 millions € que Talendi a levés en mai dernier vont servir à relever ces deux défis : pérenniser et développer l’emploi. « La Banque des Territoires nous a accompagné sur le sujet dès 2019, en finançant notre étude stratégique. Elle nous apporte aujourd’hui 1,2 millions € en titres associatifs. 14 autres souscripteurs ont suivi à hauteur de 1,5 millions €, détaille Daniel Lafranche. Nous avons réussi à faire reconnaître ces titres comme des fonds propres et non des dettes, ce qui était crucial pour nous, en tant qu’association. Nous présenter avec des fonds propres négatifs nous aurait en effet pénalisé auprès de nos clients comme auprès de nos futurs investisseurs ». S’ajoutent à ces fonds 2 millions € de prêts garantis par l’État, un prêt participatif de 200 000 € de France Active et 100 000 € de son partenaire Mirova en billets à ordre, ainsi qu’une subvention des collectivités pour 200 000 €. Leur engagement témoigne de la solidité du projet et de l’espoir que place la Bretagne dans l’Économie Sociale et Solidaire.
A bénéficié des
Avec
plusieurs garanties de
225 000€
des prêts participatifs rebond de
200 000€
des nvestissements de
420 000€
A été accompagné par
France Active Bretagne
C’est ici ?
Autres stories
[bloc_ajax params="{count:7,ess:0}"]
Toutes les stories
L’emploi au service du handicap en Bretagne
Julia BARONE et Erwan PITOIS
Directrice générale d’Up’Intérim et président de Breizh EATT
Entreprise adaptée de travail temporaire
Nous augmentons le panel de réponses possibles pour les publics en situation de handicap en recherche d’emploi.
En Bretagne et Pays de la Loire
Entreprise adaptée de travail temporaire
5 septembre 2018 : les lignes bougent pour les entreprises adaptées. La loi appelée « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel » ouvre en effet la voie à des expérimentations de travail temporaire pour les personnes en situation de handicap.
Julia Barone et Erwan Pitois, deux dirigeants d’entreprises adaptées en Bretagne et membres de l’UNEA (Union nationale des entreprises adaptées), se saisissent du sujet à l’échelle de leur région. Rassemblant douze autres acteurs – qui représentent 50 % des entreprises adaptées de leur territoire –, ils créent début 2020 l’entreprise adaptée de travail temporaire Breizh EATT. Celle-ci comprend aujourd’hui quatre agences à Rennes, Saint-Brieuc, Lorient et Quimper, baptisées « Up’Intérim ».
Breizh EATT est une SCIC (Société coopérative d’intérêt collectif) et cela ne tient pas du hasard : « Ce statut marque cette volonté de coopération territoriale, explique Erwan Pitois. C’est toute la logique du projet : être plus forts ensemble que séparément ; être avec les autres, dans l’ouverture. »
Ouvrir de nouvelles voies
L’EATT a la même mission que toute entreprise adaptée : créer des postes et des parcours pour les personnes en situation de handicap. « Mais avec ce nouvel dispositif de travail temporaire, notre objectif est de toucher des profils différents : possiblement plus jeunes et davantage à potentiel de travail immédiat pour des missions. Nous proposons ici des parcours plus toniques et exigeants. Mais surtout, nous augmentons le panel de réponses possibles pour les publics en situation de handicap en recherche d’emploi », complète Erwan Pitois.
« Sans oublier que notre objectif reste avant tout des sorties en emploi durable, rebondit Julia Barone. Un vrai plus pour les intérimaires mais aussi pour les entreprises qui font appel à nous. Elles sont pour la plupart du milieu ordinaire et de tous les secteurs d’activité (automobile, nettoyage, câblage, entretien d’espaces verts…) et peuvent utiliser ces missions pour ensuite intégrer durablement les salariés dans leurs effectifs. » Ainsi, en un an, 800 personnes, qualifiées et prêtes à l’emploi, se sont inscrites, 120 ont été mises en poste et 20 ont connu une sortie en emploi durable.
Prêts pour la reprise
Ces résultats sont très encourageants au regard de la crise sanitaire qui a explosé le lendemain à peine de l’ouverture d’Up Intérim… Malgré une fermeture lors du premier confinement et une réouverture en plein été, période traditionnellement la moins dynamique pour l’intérim, il n’est pourtant pas à l’ordre du jour de réduire les ambitions de Breizh EATT.
Ainsi, pour redimensionner le projet au regard de cette situation et continuer la belle aventure en cours, ils contractent, en plus d’un un prêt garanti par l’État, un Prêt de Relève Solidaire de 60 000 euros, via France Active qui les soutient depuis le début.
France Active Bretagne les a en effet accompagnés en amont, en 2020, dans le cadre du programme Fonds de confiance : « Passer par ce comité nous a permis de bénéficier d’une expertise et de regards croisés validant notre projet et nous donnant la possibilité de passer à la vitesse supérieure. Cet accompagnement a été clé. D’autant que France Active est un acteur du territoire et a donc une connaissance très fine de nos réseaux locaux, c’est essentiel », précise Erwan Pitois.
Aujourd’hui, le prochain défi de Breizh EATT est d’anticiper la reprise en constituant les ressources, en visant les écarts de formation et en préparant le redémarrage auprès des entreprises de la région. « Nous comptons sur un vivier de 800 personnes sur tous types de métiers et tous types de postes – même très qualifiés – c’est énorme ! Nous sommes bien loin de l’image du salarié handicapé qui ne peut faire que quelques tâches. Nous serons donc là pour les entreprises qui rechercheront des compétences dès que ça repartira. Nous sommes prêts ! », conclut Julian Barone.
A bénéficié des
Avec
plusieurs garanties dun total de
50 000€
une prime de
8 000€
plusieurs investissements d’un total de
185 000€
A été accompagné par
France Active Bretagne Breizh
Depuis 2020
C’est ici ?
Autres stories
[bloc_ajax params="{count:7,ess:0}"]
Toutes les stories