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Les femmes et la création d’entreprise
Lever les idées reçues pour libérer le potentiel des femmes

Baromètre France Active et Fédération bancaire française – OpinionWay

 

Montreuil, le 3 mars 2025

A quelques jours de la Journée internationale des droits des femmes du 8 mars, France Active et la Fédération bancaire française dévoilent les résultats de leur 3ème baromètre sur l’entrepreneuriat féminin réalisé avec OpinionWay.

Si les femmes n’ont jamais été aussi nombreuses à vouloir entreprendre, elles restent encore trop peu à franchir le pas. Pourquoi ce paradoxe ? Quels sont les freins persistants ? Quels sont les solutions et leviers existants pour un entrepreneuriat plus inclusif ?

📌59 % des femmes jugent plus motivant d’être entrepreneure que salariée, une progression de +11 points en un an
📌mais seule 1 femme sur 5 souhaite créer son entreprise (- 6pts vs 2024)
📌 46 % des femmes considèrent que les démarches administratives sont trop complexes, un frein majeur au passage à l’action.
📌 46 % estiment qu’elles n’ont pas le capital de départ suffisant pour se lancer.
📌 49% souhaiteraient la mise en place de dispositifs permettant de concilier entrepreneuriat et vie familiale

Une envie d’entreprendre qui explose chez les femmes, mais un passage à l’action en net recul

  • L’envie d’entreprendre n’a jamais été aussi forte chez les femmes : 59% d’entre elles considèrent que créer son entreprise est plus motivant que le salariat (41%), soit +11 points par rapport à 2024, un chiffre qui culmine à 63% chez les moins de 35 ans.
    Les femmes y voient avant tout un moyen de concrétiser une idée personnelle (56% soit +10 pts vs 2024) et donner plus de sens à leur vie professionnelle (57%, +12pts vs 2024).
  • MAIS le nombre de femmes prêtes à franchir le pas recule : seule 1 femme active sur 5 (21%) envisage de créer, un jour, sa propre entreprise, soit 6 pts de moins qu’en 2024 ! Et parmi celles-ci, seulement 1 sur 5 espèrent se lancer à court ou moyen terme.
    Sur fond de crise économique, la peur de l’échec est particulièrement importante avec 1/3 des femmes qui le redoutent, soit une hausse de 9 pts en un an. Mais, au-delà, il y a tout un panel d’idées reçues et de stéréotypes qui perdurent, retenant encore les femmes dans leur envie d’entreprendre.

Faire tomber les idées reçues et encourager les femmes à se lancer

Idée reçue n°1 : “Je n’ai pas assez d’argent pour créer mon entreprise”

46 % des femmes estiment manquer du capital de départ.

37 % pensent qu’elles ne trouveront jamais le financement nécessaire
34 % considèrent qu’il est plus difficile pour une femme d’obtenir un prêt bancaire.

Interrogés, les hommes répondent dans le même sens. Ces perceptions sont donc très faiblement liées au genre.

  • Il existe des dispositifs comme la Garantie Égalité Femmes mise en place par France Active, qui facilitent l’obtention de prêts bancaires pour les femmes entrepreneures (garantie jusqu’à 80 % d’un prêt bancaire, dans la limite de 50 000 €, pour financer des projets de création, de reprise ou de développement d’entreprise).
  • Le métier de la banque est d’accompagner les entrepreneures et entrepreneurs et de prêter de façon responsable pour financer les projets solvables. L’important, c’est le projet et notamment sa capacité à générer ce qui est nécessaire au remboursement du crédit, ce n’est pas le genre. C’est ainsi que travaillent les conseillers bancaires des entreprises, dont 1 sur 2 est une femme.

Idée reçue n°2 : “Créer son entreprise c’est trop compliqué et trop risqué”

46% pensent que les démarches administratives sont trop complexes

34 % des femmes ont peur d’échouer
21 % n’osent pas se lancer par manque de confiance en elles

Contrairement aux idées reçues, il y a peu de différences de perception entre les femmes et les hommes sur les freins à la création d’entreprise.

  • L’accompagnement permet de lever ces craintes et obstacles et France Active est un acteur clé : Plus de 45% des créateurs accompagnés par France Active sont des femmes.

L’association met tout en place pour qu’elles puissent bénéficier des mêmes chances de réussite que leurs homologues masculins, grâce à un accompagnement sur mesure combinant conseil, mise en réseau et accès au financement.
Et leur taux de réussite est bien supérieur à la moyenne nationale avec 93 % des femmes entrepreneures soutenues par France Active qui sont toujours en activité après 3 ans (vs 75 % en moyenne– Insee 2023).

Les pistes pour inciter les femmes à se lancer

48% des femmes estiment qu’il faudrait simplifier les démarches administratives et réduire les obstacles réglementaires.
49% pensent qu’il faudrait mettre en place des dispositifs pour concilier entrepreneuriat et vie familiale.

De manière générale, les personnes interrogées pensent que la sensibilisation dès l’école pour déconstruire les stéréotypes, les programmes d’accompagnement, de formation et de mentorat et la promotion de modèles féminins inspirants ne peuvent qu’être bénéfiques pour inciter davantage de femmes à se lancer dans l’entrepreneuriat.

Pour aider les femmes qui souhaitent lancer leur entreprise, France Active et la FBF publient un guide pédagogique « Entreprendre au féminin »

Maya ATIG

Directrice générale de la Fédération bancaire française

L’étude révèle qu’il est nécessaire de continuer à lutter contre les idées reçues en matière d’entrepreneuriat. Les banques s’engagent aux côtés des entrepreneurs, femmes et hommes. Nous invitons toutes les porteuses de projet à prendre contact avec les réseaux d’accompagnement et avec leur banque. Afin de voir aboutir puis grandir les projets des clientes et clients qui entreprennent, nous collaborons avec l’ensemble de l’écosystème dont France Active.

Fanny GEROME

Directrice générale adjointe de France Active

L’accompagnement joue un rôle clé dans la pérennité des entreprises. Nous pensons que l’entrepreneuriat féminin est un enjeu de société, c’est pourquoi depuis plus de 15 ans avec le soutien du Secrétariat d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes et la FBF nous accompagnons les femmes, en leur facilitant l’accès à la création d’entreprise. Toute femme qui souhaite entreprendre doit pouvoir avoir les mêmes chances que son homologue masculin, c’est un devoir qui doit concerner la société tout entière


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France Active : des résultats 2024 qui conjuguent utilité sociale et performance économique

France Active : des résultats 2024 qui conjuguent utilité sociale et performance économique



Dans un contexte économique incertain, France Active confirme son rôle moteur dans l’accompagnement des entreprises engagées. En 2024, le premier réseau de la finance solidaire en France a mobilisé 491 millions d’euros pour soutenir 37 458 entreprises, démontrant ainsi qu’il est possible de concilier utilité sociale et performance économique. Grâce à son action, ces entreprises résistent mieux aux aléas conjoncturels et affichent une pérennité supérieure aux moyennes nationales.

Une contribution économique et sociale en croissance

En 2024, France Active a mobilisé 491 millions d’euros au profit de 37 458 entrepreneurs et structures de l’Économie sociale et solidaire (ESS), soit +3 % par rapport à 2023. Grâce à ses outils de garantie (jusqu’à 80 % du montant emprunté) et d’investissement, le réseau favorise l’accès au crédit bancaire pour des créateurs en situation de fragilité et soutient la consolidation des entreprises à fort impact social et environnemental.

Dans un contexte budgétaire contraint, le mouvement associatif démontre sa capacité à agir pour l’intérêt général avec un coût financier modeste grâce à l’effet de levier vers l’épargne privée et aux choix d’outils sobres en ressources publiques (garantie, et investissement). Et cette action se traduit notamment par la réinsertion des demandeurs d’emploi qui créent leur entreprise, le développement de structures à fort impact social dans les territoires fragiles, la redynamisation des territoires par un tissu d’entreprises de proximité orientées vers les besoins de tous.

Ce soutien financier est complété par nombreux programmes locaux, ayant bénéficié à 10 000 entreprises en 2024, renforçant ainsi la solidité et la résilience des projets financés.

L’accompagnement de France Active a en effet permis la création et la consolidation de 70 000 emplois en 2024, contre 67 000 en 2023. La progression est particulièrement marquée dans les territoires fragiles, notamment dans les Quartiers Prioritaires de la Ville (QPV) et les zones rurales (ex-ZRR), en lien avec le programme gouvernemental Quartiers 2030, piloté par Bpifrance.

Dans ces territoires, la part des entrepreneurs en phase de création a progressé de 25 % en 2021 à près de 30 % en 2024, témoignant d’un accès accru au financement pour les porteurs de projets les plus éloignés du système bancaire.

En bénéficiant du soutien constant de l’Etat, via le Fonds de Cohésion Sociale, et de toutes les Régions, France Active développe des solutions de garantie d’emprunt qui lui donne une place à part dans le secteur bancaire. Et sur les questions d’investissement, France Active Investissement mobilise l’épargne solidaire des Français que lui confient les principales sociétés de gestion.

Profils des créateurs accompagnés par France Active en 2024

>100 % des créateurs soutenus sont demandeurs d’emploi, dont 37 % en situation de grande précarité (demandeurs d’emploi de longue durée, bénéficiaires des minimas sociaux…).

>45 % des entrepreneurs accompagnés sont des femmes, bénéficiant notamment de la Garantie Égalité Femmes et de plusieurs programmes locaux dédiés.

>31 % des entrepreneurs ont moins de 30 ans (vs 28,3 % en 2021), avec un niveau de diplôme de Bac ou inférieur pour 54 % d’entre eux (vs 51 % en 2023)

Des entreprises plus résistantes aux crises

Les entreprises financées par France Active affichent pourtant une pérennité supérieure aux moyennes nationales. Ainsi, 93 % des entreprises ayant bénéficié d’une garantie bancaire en 2018 sont toujours en activité trois ans après, contre 82 % pour l’ensemble des entreprises françaises (Dernière étude à date de l’Insee publiée le 6 décembre 2023. Voir sur leur site) et 75,2 % pour les entreprises individuelles hors micro-entreprise.
En 2024, alors que la Banque de France observe une hausse de 17 % des défaillances d’entreprises (Données Banque de France au 31 décembre 2024), celles accompagnées par France Active enregistrent une progression limitée à 5 % seulement.

Pierre-René LEMAS

Président de France Active

Malgré le contexte économique tendu, France Active réussit le pari de concilier utilité sociale et performance économique à travers les 37 500 entreprises accompagnées et financées. Nous permettons à toujours plus de créateurs en situation de fragilité d’accéder au crédit bancaire et renforçons notre investissement dans les entreprises les plus engagées sur les enjeux sociaux et écologiques. Nous démontrons toute la résilience de ces entreprises qui résistent bien mieux que les autres aux aléas de la conjoncture. L’apport de fonds publics et la contribution de l’épargne solidaire à notre modèle génèrent un effet d’entrainement vertueux au développement économique de notre pays.

Des investissements au service de la transition sociale et écologique

L’écologie, le social, l’emploi, les territoires et la gouvernance démocratique sont les 5 piliers fondamentaux auxquels France Active confronte les entreprises les plus engagées dans la phase d’accompagnement et de financement à toute phase de vie.

En 2024, la croissance de ses investissements solidaires s’est élevée à plus de 23% pour atteindre 77,5 M€ auprès de 1351 associations et entreprises.

67 % des entreprises financées portent une mission sociale ou environnementale, avec une dynamique forte en faveur des modèles coopératifs, qui répondent à une demande croissante de gouvernance participative.

Par ailleurs, grâce à l’effet levier généré par ses partenaires (Banque des Territoires, Mirova…), 1 euro investi par France Active a généré en 2024, 4 euros supplémentaires, sécurisant ainsi le développement des projets tout en partageant le risque avec d’autres investisseurs publics et privés.

Exemples de projets soutenus par France Active


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Épargne solidaire : face à un contexte incertain, des Français partagés entre enthousiasme et pragmatisme

Semaine de la Finance Solidaire du 11 au 17 novembre 2024
Baromètre OpinionWay, France Active et FAIR : « Les Français et l’épargne solidaire »


Montreuil, le 23 octobre 2024

À quelques jours de la Semaine de la Finance Solidaire et du mois de l’ESS, France Active et FAIR dévoilent les résultats de leur baromètre OpinionWay « Les Français et l’épargne solidaire ». Dans un contexte économique incertain, l’envie d’épargner est-elle renforcée ? Vers quels types d’épargne se tournent-ils ? Quels projets solidaires les Français souhaitent-ils soutenir en priorité avec leur épargne ? Les attentes des jeunes générations diffèrent-elles de celles de leurs aînés ? Si l’enthousiasme pour l’épargne solidaire est indéniable, le manque d’information sur ses mécanismes, sa rentabilité et sa finalité demeure un frein important au passage à l’acte.

Lire le baromètre

Les Français, soucieux d’épargner, restent encore mal informés sur l’existence et le fonctionnement de l’épargne solidaire

55 % des Français déclarent vouloir augmenter (17 %) ou maintenir (38 %) leur effort épargne en 2025, soit une hausse de 9 points par rapport à l’année dernière. Les jeunes, et notamment 56 % des 18-24 ans, expriment un intérêt croissant pour l’épargne, en particulier face à l’incertitude de l’avenir.

Parmi les principales motivations, 46 % des répondants évoquent la crainte de l’avenir, tandis que 38% citent le désir de financer des projets futurs tels que l’immobilier, les voyages ou les études.

Dans un contexte économique incertain, la volonté des Français d’épargner de façon sécurisée prime largement sur leur recherche d’impact positif sur la société et l’environnement : 33 % priorisent la disponibilité de leur épargne, 29 % la sécurité de leur capital, 22 % le rendement financier et seulement 12 % l’impact social et écologique de leur investissement.

Ces choix peuvent s’expliquer par un manque d’information notoire sur le sujet. Près de 70 % des Français se déclarent mal informés sur ce type d’épargne, qu’il s’agisse de son fonctionnement, de ses finalités, des produits proposés ou bien des acteurs qui la gèrent. Ces résultats doivent interpeller l’ensemble des acteurs mobilisés dans le développement de l’épargne solidaire pour les amener à mieux expliquer aux Français toute la diversité de cette épargne, autant sur les produits proposés que sur les niveaux de rentabilité attendue.

Transition écologique, lien social et emploi : les projets prioritaires des Français en matière d’épargne solidaire

Dans un contexte de crise, l’envie des Français de flécher leur épargne vers des projets utiles à la société et à l’environnement diminue de 5 points, au profit de priorités plus personnelles et le besoin de sécuriser au maximum leur capital. Aujourd’hui, un Français sur cinq (20 %) souhaite une épargne à finalité solidaire, combinant si possible rentabilité financière et contribution à des projets d’intérêt général, un chiffre qui atteint 30 % chez les 25-34 ans.

Si les Français décidaient d’orienter leur épargne vers le financement de projets solidaires, ils privilégieraient avant tout des initiatives liées à la transition écologique (31 %), au renforcement du lien social (19 %), ou à la création d’emplois (16 %). En majorité, ils estiment que ces projets doivent être envisagés sur le moyen terme, avec 34 % d’entre eux prêts à attendre entre 3 et 8 ans avant de récupérer le fruit de leur investissement.

Un Français sur 4 (24 %) se déclare prêt à ne pas se fixer d’horizon de rentabilité tant que leur investissement soutient une cause solidaire.

Denis Dementhon

Directeur général de France Active

“Ces résultats illustrent combien les finalités sociales et écologiques de l’épargne solidaire répondent aux attentes des Français. Ils ont bien identifié les fondements de cette épargne citoyenne qui permet de répondre à des besoins non couverts dans les territoires. Pour autant, nous voyons cette année un moindre intérêt de leur part à épargner solidaire en raison d’un contexte économique sans doute plus tendu. Ce baromètre révèle toujours un besoin crucial d’accompagnement et d’information. Notre rôle ainsi que celui des banques et des assureurs est d’arriver à donner à chacun les clés pour plus de transparence sur le parcours de cette épargne jusqu’à ses résultats. Il faut que les Français deviennent les vrais acteurs de leur choix en matière de fléchage de leur épargne”.

Patrick Sapy

Directeur général de FAIR

“L’épargne solidaire est accessible à tous : elle offre une diversité de produits financiers adaptés à chaque type d’épargnant, selon son profil et ses priorités tant en matière de rendement, de risque ou d’impact. En effet, il existe des solutions concrètes pour ceux qui souhaitent à la fois soutenir des entreprises et des projets utiles à la société et à l’environnement grâce à leur argent, tout en répondant à leurs objectifs d’épargne. En cela, le rôle proactif des acteurs bancaires est essentiel, tout comme celui de l’accompagnement des évolutions réglementaires, indispensables pour mieux encourager une épargne solidaire”.

Quelques repères pour mieux comprendre l’épargne solidaire

La finance solidaire est une finance innovante, qui replace le citoyen au cœur de l’économie en finançant des projets utiles à la société et à l’environnement.

Quel est son parcours ?
Les épargnants placent leur argent sur des produits d’épargne souvent gérés par un établissement financier. L’argent placé est alors fléché vers des projets d’entreprises de l’Économie sociale et solidaire (ESS) ou vers des financeurs solidaires, comme France Active, présents sur tout le territoire. Ces derniers financent et accompagnent les porteurs de projets, et permettent aux épargnants de prendre part aux transitions sociales et écologiques d’aujourd’hui et de demain.

Pour quel impact ?
Depuis l’adoption de la loi sur l’ESS – Loi Hamon, il y a tout juste 10 ans, l’épargne solidaire a permis d’appuyer plus de 13 400 entreprises et associations et de faire levier auprès d’investisseurs engagés. Au total, plus de 2,72 milliards d’euros ont été mobilisés par France Active et ses partenaires financeurs, dont plus de 500 millions au titre de l’épargne solidaire.

Pour favoriser l’émergence et la réussite de ces nouveaux entrepreneurs engagés, France Active les accompagne dans toutes les phases de vie de leur entreprise, de la création au développement en passant par le changement d’échelle. Ces projets ont permis la création et consolidation de près de 200 000 emplois, de manière durable : les structures financées affichent un taux de pérennité à 5 ans de 87%, contre 61% pour l’ensemble des entreprises en France (données Insee 2019).

MÉTHODOLOGIE DE L’ÉTUDE

Le baromètre « Les Français et l’épargne solidaire » réalisé pour France Active et FAIR par OpinionWay, est destiné à comprendre et analyser l’opinion des Français vis-à-vis des placements d’épargne solidaire. Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1 009 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées, les 11 et 12 septembre 2024, par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).

Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante :

« Sondage OpinionWay pour France Active et FAIR » et aucune reprise de l’enquête ne pourra être dissociée de cet intitulé.

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France Active annonce une levée de fonds de 12,5 millions d’euros pour amplifier son action en faveur de l’inclusion bancaire et de la lutte contre les nouvelles précarités entrepreneuriales

Entrepreneuriat engagé


Montreuil, le 30 mai 2024

Afin de permettre aux entrepreneurs les plus fragiles de mener à bien leur projet, France Active accélère dans son activité de garantie des prêts bancaire. Pour ce faire, le pionnier de la finance solidaire annonce une augmentation de capital de plus de 12,5 millions d’euros pour sa société de garantie. Des capitaux qui vont lui permettre d’amplifier son activité de garant dès 2024, avec 350 millions d’euros de prêts bancaires garantis. Les partenaires bancaires de France Active témoignent ainsi de leur confiance renouvelée envers sa démarche d’accompagnement des entrepreneurs, porteuse de création d’emplois et de croissance.

La dynamique entrepreneuriale fleurit partout en France, y compris au sein des populations les plus fragiles

Devenir son propre patron, donner plus de sens à sa vie professionnelle, affronter de nouveaux défis… les motivations des entrepreneurs en France restent variées, mais l’envie de créer son entreprise continue de progresser, dans toute la société. Y compris chez les publics les plus fragiles pour lesquels l’entrepreneuriat est un levier d’émancipation.

Ainsi par exemple, les femmes manifestent une envie croissante d’entreprendre : aujourd’hui, 3 femmes sur 10 [1] , dont un tiers de moins de 30 ans, participent à la chaîne entrepreneuriale.
De leur côté, les habitants des QPV, hommes comme femmes, se joignent de plus en plus à ce mouvement. Malgré des conditions de vie plus difficiles qu’ailleurs, 26% d’entre eux ont créé leur entreprise ou souhaitent mener à bien un tel projet. Ce chiffre, qui a quasiment doublé en 4 ans, se rapproche de celui observé dans l’ensemble de la France (32%)[2].
Enfin, les habitants des zones rurales et des petites villes rejoignent eux aussi le mouvement. Depuis 2020, le rythme de création d’entreprises dans ces territoires a plus que doublé[3] , sous l’impulsion d’entrepreneurs innovants, résolus à apporter des réponses face à l’émergence de besoins inédits.

Sécuriser ces entrepreneurs, peu importe leur profil et leur parcours, constitue la vocation première de France Active. Pour cela, l’association est le seul acteur à mettre à leur disposition à la fois un accès au financement grâce à la garantie bancaire mais également l’accompagnement et la mise en réseau pour optimiser les chances de réussite.

Ainsi, parmi les créateurs d’entreprises bénéficiant de cet accompagnement unique, 30% sont issus de territoires fragiles, 51% ont le niveau bac ou inférieur au bac, et 100% sont au chômage ou en situation de grande précarité. Enfin, 48% sont des femmes.

Accélérer l’engagement en faveur de l’inclusion bancaire pour lever la 1ère cause de la précarité entrepreneuriale

Cette envie d’entreprendre se heurte à de nombreux freins, dont le premier est l’accès au financement.
Par exemple, les habitants des QPV considèrent ce point comme bloquant à 29%. Chez les femmes, cette difficulté apparaît encore plus présente : 51% des créatrices d’entreprise affirment que la difficulté à trouver des investisseurs a constitué la principale difficulté à surmonter pour mener à bien leur projet[4].

Pour aider ces entrepreneurs fragiles à bénéficier d’un meilleur accès au financement bancaire, France Active est l’unique acteur à proposer un système de garanties d’emprunts, couvrant une partie du montant du prêt en cas de défaillance de l’entreprise (jusqu’à 80% du montant emprunté). Ce mécanisme sécurise les banques, permet de faire levier sur les financements bancaires, et évite ou limite une prise de caution personnelle de l’entrepreneur. Ce dernier peut ainsi mener son projet dans des conditions plus sereines, sans mettre en péril son patrimoine et celui de ses proches, et accroître ses chances de succès à long terme.

France Active accélère aujourd’hui son engagement en faveur de l’inclusion bancaire, grâce à une augmentation de capital de 12,5 M€ (le capital au 31 décembre 2023 est de 29,9M d’euros) auprès des actionnaires de France Active Garantie : le Groupe BPCE, la Caisse des dépôts et consignations, la Caisse centrale du Crédit Coopératif, le Groupe Crédit Agricole, la Caisse centrale du Crédit Mutuel et le CIC.
L’association prévoit ainsi d’augmenter sa garantie de prêts bancaires, passant de 325 millions d’euros en 2023 à 350 millions dès 2024. Et pour 2027, c’est plus de 100 millions de croissance prévue avec une ambition de garantir 450 millions de prêts bancaires, ce qui correspond à un accompagnement de plus de 10 000 entrepreneurs.

Intensifier le programme d’accompagnement Accès +, à destination des plus fragiles

Cette augmentation de capital va aussi permettre à France Active d’intensifier son action auprès des entrepreneurs les plus fragiles, notamment dans le cadre de son programme Accès +. Rendu possible grâce au programme Inclusion par le Travail Indépendant du ministère du Travail, ce parcours sur mesure, créé en 2021, propose, outre une action d’accompagnement des entrepreneurs, un ensemble de modules de pédagogie financière permettant aussi de lutter contre la précarité entrepreneuriale.

Au moment de leur entrée dans ce programme, 77% des bénéficiaires connaissaient une situation de précarité (allocataire du RSA, parent isolé, situation de handicap…) et 70% se trouvaient au chômage depuis 6 mois ou plus. Malgré leur fragilité, ces entrepreneurs affichent aujourd’hui d’excellents résultats : trois ans après leur création, près de 87% de leurs entreprises poursuivent leur activité.

Une performance supérieure à celle des entreprises nouvellement créées en France, toutes catégories confondues : seules 82% passent ce cap des trois ans[5] et 75% pour les entreprises individuelles (hors micro entreprises).

Comment expliquer ce succès ? Pour les bénéficiaires, aucun doute : 87% d’entre eux affirment que les financements apportés par France Active ont joué un rôle décisif dans la réalisation de leur projet. Et, grâce à la qualité de l’accompagnement proposé, 95% se déclarent aujourd’hui confiants dans le succès de leur entreprise. Au total, ces entrepreneurs ont permis la création de 6 300 emplois stables.

1-Bpifrance juin 2023 – Retour
2-Bpifrance – Terra Nova juin 2023 – Retour
3-Observatoire de la Création d’Entreprise octobre 2023 – Retour
4-ADIE mai 2022 – Retour
5-Insee, enquête Sine 2018, interrogations 2018 et 2021 – Retour

Pierre-René LEMAS

Président de France Active

Ces résultats très positifs illustrent la pertinence de notre approche aux côtés des entrepreneurs engagés. Notre modèle, unique en son genre, démontre que l’exclusion bancaire n’est pas une fatalité : un accompagnement professionnel des porteurs de projets et une ingénierie financière adaptée permettent d’octroyer des crédits dans des conditions de coût et de sécurité maîtrisées, y compris pour des personnes en grande difficulté sociale, et au sein de territoires considérés comme sensibles. Nous remercions nos partenaires bancaires pour la confiance renouvelée qu’ils nous témoignent à travers cette augmentation de capital. Nous restons, plus que jamais, déterminés à poursuivre notre action auprès de ces entrepreneurs engagés, capables grâce à leurs actions de faire évoluer notre société toute entière.

Une démarche qui va notamment profiter au programme Entrepreneuriat Quartiers 2030

 

Lancé en octobre 2023, ce programme gouvernemental, animé par Bpifrance, s’articule autour de trois axes, déclinant les objectifs à atteindre pour 2027 : informer et orienter les entrepreneurs des QPV, développer pour eux des offres d’accompagnement et de financement spécifiques, et proposer un d’accompagnement d’excellence pour les entrepreneurs à potentiel.
Cette levée de fonds va permettre d’intensifier l’accompagnement de ces publics par France Active.

Zoom sur les deux sociétés financières de France Active :

FRANCE ACTIVE GARANTIE
Moteur essentiel de l’activité de France Active, la société de garantie accompagne les entrepreneurs dans l’accès à la banque grâce à la garantie. France Active Garantie assure la gestion de plus de fonds de garantie, en partenariat avec l’ensemble des acteurs bancaires et anime la majeure partie du volet du microcrédit professionnel du Fonds de Cohésion Sociale pour le compte de l’État. Elle accorde des garanties d’emprunt aux entrepreneurs et aux institutions qui favorisent l’emploi et la cohésion sociale. France Active Garantie a mobilisé 325 millions d’euros en 2023.

FRANCE ACTIVE INVESTISSEMENT
Principale société d’investissement solidaire en France, France Active Investissement permet à France Active de collecter l’épargne solidaire pour l’investir, à des conditions avantageuses, dans des projets de l’Économie sociale et solidaire, à fort impact social, territorial ou environnemental. En 2023, France Active Investissement a investi 46 millions d’euros au sein d’entreprises solidaires, soit une croissance de 15% sur ce métier d’investisseur par rapport à l’an passé.


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De l’Europe aux territoires


Le Fonds européen d’investissement avec InvestEU renforce son soutien à France Active pour l’économie sociale

Montreuil, le 12 mars 2024

  • Depuis 2015, le FEI contribue au développement de l’activité de France Active grâce à une garantie de l’Union européenne.
  • En 2023, le groupe Banque européenne d’investissement a permis à France Active de mobiliser 485 millions d’euros au profit de 36 440 entreprises avec 67 080 emplois créés et consolidés.
  • Le Fonds européens d’investissement et France Active annoncent le renforcement de leur partenariat en 2024 dans le cadre du programme InvestEU pour continuer le soutien à l’économie sociale.

Face aux défis sociaux et écologiques croissants, France Active et le Fonds européen d’investissement renforcent leur coopération au service d’une économie plus inclusive avec le soutien de la garantie européenne à travers le programme InvestEU.

 

Cette annonce a été faite à l’occasion d’une visite de l’Iron Academy (Ecole de production Grand Paris Nord), une association œuvrant en Seine-Saint-Denis pour l’insertion professionelle de jeunes sans qualification. Deux nouvelles conventions ont été signées lors de cette visite pour une durée de trois ans afin de soutenir les objectifs de développement de France Active.

 

La première convention garantit les investissements de France Active Investissement auprès des entreprises sociales. La seconde contre-garantit les emprunts bancaires octroyées par France Active Garantie afin de soutenir les créateurs d’entreprises les plus éloignés de l’accès aux financements.

 

Les ressources déployées par le Fonds européen d’investissement grâce à InvestEU permettront à France Active de doubler le nombre de leurs entreprises bénéficiaires d’ici 2027, c’est à dire 1 000 entreprises soutenues pour une ambition de 90 millions d’euros investis par an et d’augmenter de 50% sur cette même période l’activité de France Active Garantie. Cela mènera à plus de 10 000 entreprises bénéficiaires de garanties d’emprunts bancaires pour une ambition de plus de 300 M€ mobilisés par an. Ce soutien correspond aux objectifs du plan d’action de la Commission visant à stimuler l’économie sociale et à créer des emplois.


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Pierre-René Lemas

Président de France Active

L’intervention de l’Europe, du Fonds européen d’investissement (FEI) en particulier, est indispensable à l’action de France Active. Elle nous permet d’accomplir notre projet associatif en mobilisant des fonds publics et privés, des banques et des sociétés de gestion, au bénéfice d’entrepreneurs fragiles et de projets qui placent l’utilité sociale au cœur de leur modèle. Appuyant nos métiers de garant et d’investisseur, le FEI nous assure un soutien pérenne qui rejaillit sur le développement d’une économie plus sociale et plus solidaire sur l’ensemble des territoires.

Ambroise Fayolle

Vice-président du groupe Banque européenne d’investissement

Soutenir les capacités de prêt des microentreprises et des entreprises sociales est très important pour maintenir la création d’emplois et l’activité dans des structures essentielles à la cohésion sociale en France et dans l’ensemble de l’Europe. Le groupe BEI est heureux de pouvoir renforcer via ces deux conventions sa relation à long terme avec France Active Garantie et France Active Investissement qui jouent un rôle essentiel dans le soutien et le développement de l’entrepreneuriat social en France.

Marjut Falkstedt

Directrice générale du Fonds européen d’investissement

Les instruments européens pour la microfinance et les entreprises sociales sont efficaces pour améliorer l’accès aux ressources financières d’acteurs économiques qui en ont le plus besoin. C’est pourquoi le FEI renouvelle sa collaboration avec France Active Garantie et France Active Investissement afin de renforcer notre capacité à servir le secteur de la finance sociale en France.

Nicolas Schmit

Commissaire européen à l’emploi et aux droits sociaux

InvestEU apporte un soutien essentiel aux entreprises sociales à travers l’Europe. Ce nouvel accord financier sera un catalyseur pour environ 10 000 entreprises opérant en France, en améliorant leur accès au financement. Cela permettra de créer de nouveaux emplois et de contribuer au renforcement de l’économie sociale et solidaire, qui représente une priorité pour l’Union Européenne, tout en renforçant la cohésion sociale et territoriale.

Trois acteurs accompagnés par France Active mis à l’honneur


Françoise Candier, directrice de l’Iron Academy

Iron Academy est une école de production située à Stains en Seine-Saint-Denis. Elle forme des jeunes sortis du système scolaire sans diplôme aux métiers du métal (CAP Métallier). Cette formation en deux ans se base sur la pédagogie « faire pour apprendre ». Portée par une association d’intérêt général, l’école de production donne une nouvelle chance à ces jeunes en les formant sur des métiers en tension.
France Active a investi 150 000 € aux côtés de la Banque des Territoires.

Vanessa Krycève, fondatrice de l’association Le Recho

Le Recho est une association fondée en 2016 pour accompagner dignement les personnes exilées en France et en Europe. Afin de faire changer les regards sur ces personnes, l’association choisit le biais de la cuisine partant du principe que c’est un langage fédérateur, un moteur d’inclusion et de solidarité. Le Recho propose un service traiteur et assure la restauration du Bal dans le 18e arrondissement de Paris en complément des toutes ses actions autour de l’alimentation.
France Active a investi 30 000 € et garantit un prêt de 60 000 € de la coopérative bancaire Nef, à hauteur de 65%.

 

Ananth Purushothaman, fondateur de Shape-Eat

Ananth Purushothaman a créé Shape-Eat. Il a bénéficié du programme Accès + : une prime de 3000 € et un accompagnement renforcé mis en place dans le cadre du dispositif pour l’inclusion par le travail indépendant de l’Etat (ministère du Travail). Il implante sa structure en plein cœur d’un quartier prioritaire à Saint-Ouen et propose des produits d’alimentation pour les sportifs.
France Active a garanti un prêt de 60 000 € de la Caisse d’Epargne Ile de France à hauteur de 80% et octroyé un prêt de 24 000 €.

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Les femmes et la création d’entreprise. Baromètre France Active & Fédération bancaire française réalisé par OpinionWay


Les femmes plus motivées que les hommes pour créer, malgré la perception de difficultés qui demeurent

Montreuil, le 6 mars 2024

Dans un contexte économique incertain, l’envie de créer sa propre entreprise chute de 15 points en 4 ans. Et pour la première fois, les femmes actives se montrent plus motivées que les hommes actifs ! Pour autant, les perceptions sur les difficultés à entreprendre demeurent, même si la réalité est plus positive notamment dans l’accès au financement. France Active et la Fédération bancaire française ont chaque jour des preuves que les femmes réussissent à entreprendre tout autant que les hommes, et agissent ensemble en faveur d’une plus grande égalité. Le point sur la perception des Françaises et des Français.

La création d’entreprise : 27% des femmes veulent se lancer

Quatre ans après la première étude1, quelques évolutions sont particulièrement frappantes :

  • 45% des actifs (- de 60 ans), sont motivés par l’envie de créer leur propre entreprise, soit une baisse de 15 points. A l’inverse, le salariat redevient la valeur refuge avec une hausse de 18 points chez cette même catégorie.
  • Les femmes restent particulièrement motivées par l’entrepreneuriat, et pour la première fois, nettement plus que leurs homologues masculins (48 % des femmes de moins de 60 ans contre 40% des hommes).
  • En 2024, près d’1 femme sur 3 (27%) envisage de créer un jour sa propre entreprise contre 22% des hommes ! Une ambition en hausse de 4 points depuis 2020.

Qu’est-ce qui motive tant les femmes ?

Parmi celles qui sont prêtes à se lancer, l’opportunité de gagner plus d’argent, arrive en tête des motivations chez les femmes (54 % vs 49% des hommes). La création d’entreprise est perçue comme une opportunité de sortir d’une situation professionnelle précaire (32%).

 

L’envie de concrétiser une idée personnelle qui leur tient à cœur arrive en 2ème position (49% des femmes, vs 59% des hommes), suivi par l’envie de donner plus de sens à leur vie professionnelle (45%).

L’accès au financement : une représentation éloignée de la réalité

Plus de 2 français sur 3 estiment qu’il n’est ni plus facile ni plus difficile et même parfois plus facile pour une femme que pour un homme d’obtenir un prêt bancaire afin de créer son entreprise.

39% des femmes pensent que l’accès aux prêts bancaires serait plus difficile pour elles et 25% des hommes ont le même sentiment.

Environ 1 femme sur 5 estime qu’elles osent moins demander des crédits et des financements bancaires que les hommes.
Autre frein, la vie familiale. 38% des femmes pensent qu’elles osent moins mettre de côté la vie de famille que les hommes.

En revanche, les femmes oseraient plus sur les 3 points clés de réussite dans la création (formation, accompagnement, partage) : les femmes sont perçues comme plus susceptibles que leurs homologues masculins, de prendre des initiatives positives pour la création de leur entreprise, comme suivre une formation, demander conseil et se faire accompagner, chercher une écoute ou encore tester leurs idées auprès de leurs proches.

France Active et la Fédération bancaire française, aux côtés des créatrices d’entreprise : la réalité des femmes qui réussissent

Du côté de France Active, parmi les 36 440 entrepreneurs que France Active accompagne chaque année, près de la moitié sont des femmes (selon le baromètre Infogreffe, elles représentaient 32 % des créateurs d’entreprise en 2023). Et elles font la démonstration de leur réussite : 83% d’entre elles sont toujours en activité après leur financement (contre 74% en moyenne).

France Active et la Fédération bancaire française agissent conjointement pour favoriser le recours au financement et lutter contre les idées reçues illustrées encore dans cette enquête, notamment en publiant un mini guide « Entreprendre au féminin » qui apporte des informations pédagogiques aux femmes qui souhaitent se lancer dans l’entreprenariat.

France Active propose ainsi depuis plus de 15 ans, avec le soutien du secrétariat d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, une garantie d’emprunt bancaire spécialement dédiée aux femmes : la garantie EGALITE Femmes. Elle facilite l’accès au crédit bancaire pour les entrepreneures demandeuses d’emploi ou en situation de précarité. Elle leur permet de voir leur financement garanti jusqu’à 80 % du montant du prêt. Près de 30 000 femmes ont pu bénéficier de cet accompagnement depuis sa création.

France Active organise également, chaque année, différentes opérations sur les territoires : concours en région centré sur l’entrepreneuriat féminin, programmes spécifiques dans les quartiers, rencontres entre femmes cheffes d’entreprise, promotion de l’égalité femme-homme. Le mouvement associatif agit aussi aux côtés du collectif Femmes de territoires et de la Fondation des Femmes en organisant des rencontres et des webinaires pour lever les freins de l’accès au financement.

1- Sondage OpinionWay pour France Active – Février 2020

Fanny GEROME

Directrice générale adjointe de France Active

A travers l’ensemble de ces initiatives, nous défendons l’égalité des chances dans la capacité à entreprendre dans notre pays. Nous sommes convaincus que les femmes qui bénéficient d’un accompagnement spécifique mettent toutes les chances de leurs côtés pour mener à bien de beaux projets et nous constatons tous les jours des nouvelles réussites sur nos territoires. Notre mission est que toute femme qui le souhaite puisse créer ou reprendre une entreprise, avec les mêmes chances de succès et de pérennité que l’ensemble des entrepreneurs.

Maya ATIG

Directrice générale de la Fédération bancaire française

Les banques sont aux côtés des entrepreneurs et notamment des femmes entrepreneures. Que ce soit au niveau de la fédération ou dans chaque établissement, nous ne poursuivons qu’un seul objectif, accompagner nos clients et clientes dans leurs projets. Pour ce faire, nous travaillons avec tout l’écosystème et nos membres lancent de nombreuses initiatives. Les résultats de l’étude nous montre qu’il reste à chacun un travail de pédagogie à mener pour continuer à améliorer une perception qui ne se retrouve pas dans la vie réelle.


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Une épargne qui séduit 1 français sur 4 mais qui pâtit d’un manque important d’information

Semaine de la Finance Solidaire du 13 au 20 novembre

L’épargne solidaire aujourd’hui en France


Montreuil, le 8 novembre 2023

A quelques jours de la semaine de la finance solidaire, France Active, FAIR et OpinionWay[1] ont sondé les Français sur l’épargne solidaire. Dans un contexte marqué par l’inflation et un pouvoir d’achat en berne, quelles sont leurs intentions d’épargne pour 2024 ? Qui sont les personnes intéressées par la finance solidaire ? Pour quelle finalité ? Pour quels types de projets soutenus en priorité ? …
Pourtant essentielle à la vie économique et sociale de la France et de ses territoires, l’épargne solidaire doit encore faire face à de nombreux freins. Contexte économique, idées reçues qui perdurent, manque de connaissances sur les produits solidaires et leur finalité, l’enquête révèle qu’il est d’abord urgent de mieux informer les Français.

Dans un contexte économique tendu, des prévisions d’épargne en baisse mais des signaux positifs en faveur de l’épargne solidaire

Dans le contexte économique actuel, 61% des Français disent qu’ils ne vont pas ou qu’ils vont moins épargner en 2024, soit une baisse de 8 points en 1 an.

Parmi ceux qui peuvent épargner (39% des Français envisagent d’épargner plus ou autant que l’an dernier), c’est précisément le contexte économique, et notamment leur crainte pour l’avenir, qui les motive, loin devant le financement de nouveaux projets (immobilier, voyage, études, …).

Face aux besoins spécifiques de ces entrepreneurs en cette période de crise, France Active étoffe son offre aux entreprises qui veulent se relancer via son Pacte Relance, spécifique à cette phase avec le Prêt Relève Solidaire doté de 30 millions d’euros. Mirova y contribue par le biais d’un financement apporté par le fonds Mirova Solidaire[1] d’un million d’euros à taux zéro sur 18 mois, qui pourra être renouvelé en fonction des besoins et du rythme de déploiement. Mirova s’engageant le cas échéant à prendre à sa charge une partie des pertes potentielles compte-tenu du risque particulier de ce soutien.
Cette décision répond à des circonstances exceptionnelles et témoigne de l’engagement sans faille de Mirova au côté des entrepreneurs solidaires, mais aussi de sa conviction de la pertinence de ce modèle.

Concernant le type de placement de leur épargne :

  • 1 Français sur 4 souhaite qu’il ait une finalité solidaire (25%), dont 11% de manière exclusive, uniquement dans le but de soutenir le développement économique de leur territoire ou de contribuer à la réussite de projets solidaires dans leur région. Une volonté encore plus forte chez les jeunes (20% chez les moins de 35 ans, +2% vs 2022).
  • Près de 3 Français sur 4 recherchent avant tout à sécuriser leur patrimoine et à faire fructifier leur argent.

S’ils devaient investir dans l’épargne solidaire,

  • 31% des Français privilégieraient en premier des projets qui répondent aux défis environnementaux ;
  • 19% des projets qui favorisent l’emploi des personnes qui en sont les plus éloignées ;
  • 21% des projets qui favorisent le lien social et réduisent les inégalités ;
  • 18% des projets qui permettent le développement économique des territoires.

Notons enfin que 46% des Français se disent prêts à se montrer patients et à investir sur des projets rentables à moyen ou long terme (+2 points vs 2022), un chiffre qui grimpe à 64% chez les 18-24 ans.

Le manque d’information, premier frein auquel doit faire face l’épargne solidaire

Et pourtant, l’intérêt pour l’épargne solidaire stagne faute d’informations suffisantes, avec :

  • 67% des Français qui se sentent mal informés sur les projets concernés par ce type d’épargne
  • 66% qui ne savent pas comment l’argent est utilisé et investi
  • 66% qui n’ont pas d’idée sur sa rentabilité
  • 64% qui ne connaissent pas les produits existants pour ce type d’investissement

Denis Dementhon

Directeur général de France Active

« Aujourd’hui, 25% des Français recherchent une finalité sociale et solidaire à leurs placements. Il est donc crucial de continuer à les informer pour qu’ils passent tous à l’acte ! En effet, l’actualité a mis récemment en lumière les difficultés de nombreuses associations de solidarité. Or, l’épargne solidaire est justement réinvestie dans des associations ou des entreprises, dont les projets sont utiles à la société et porteurs de transformations sociales et écologiques. Nous les aidons à jouer leur rôle face aux défis auxquels nous devons faire face collectivement. Près de 7 français sur 10 ont le sentiment d’être mal informés sur l’utilisation de cette épargne ou sa rentabilité. Cela nous oblige à faire davantage de pédagogie et à montrer toute l’utilité de l’action des bénéficiaires sur nos territoires ».

L’ÉPARGNE SOLIDAIRE EN CHIFFRES

En 2022, l’épargne solidaire des Français collectée via l’épargne salariale solidaire, les banques et mutuelles d’assurance ou encore via l’investissement dans une entreprise solidaire, représente 26,3 milliards d’euros au 31/12/2022[2] . Par rapport à l’année précédente, l’encours de l’épargne solidaire a donc augmenté de 1,8 milliard d’euros (+7%).
Si les encours augmentent chaque année, la part du solidaire dans l’épargne des Français reste en revanche très faible : l’épargne solidaire représente 0,45% de l’épargne totale des Français.
Du côté des financements, l’épargne solidaire a permis de verser 4,8 millions d’euros de dons à des associations et de générer 841,5 millions d’euros de financements solidaires pour soutenir plus de 1 590 projets à impact social ou environnemental.

La double rentabilité des produits financiers solidaires

Les placements financiers solidaires offrent une double rentabilité :

  • Une rentabilité sociale : leur souscription a permis en 2022 de loger 1 440 personnes, d’approvisionner 8 381 foyers en énergie renouvelable, de mettre à disposition 1 559 hectares d’agriculture biologique dans l’année, de soutenir plus de 90 agriculteurs, etc.
  • Une rentabilité financière, grâce à leurs performances financières et aux avantages fiscaux auxquels certains produits d’épargne solidaires donnent droit.

Patrick Sapy

Directeur général de FAIR

Les enjeux de financement des entreprises de l’ESS sont à la hauteur des défis auxquels elles doivent répondre : exclusion, fractures territoriales, changements climatiques, solidarité à l’international, etc.

A titre d’exemple, les besoins de financement supplémentaire liés à la transition écologique sont estimés à 66 milliards d’euros par an. Depuis 40 ans, la finance solidaire propose une réponse pertinente à ces enjeux : en reliant directement les épargnants à des projets d’utilité sociale et environnementale, elle les mobilise concrètement au service d’un monde plus juste. L’argent reste un outil puissant pour changer le monde, pour peu que l’épargne soit correctement fléchée. Il est urgent que tous les acteurs, entreprises de l’ESS, acteurs financiers, régulateurs, se mobilisent pour répondre aux attentes légitimes des citoyens et leur fournissent un cadre règlementaire adapté et des informations accessibles.

Chez FAIR, c’est la mission que nous poursuivons, notamment avec le label Finansol, unique label français de finance solidaire, réelle boussole pour les épargnants engagés dans un monde complexe.

France Active lance une nouvelle offre d’investissement

Dans le climat économique actuel, certaines structures de l’ESS connaissent des difficultés croissantes, dû au fait notamment, du renchérissement des coûts de production et d’un resserrement de l’accès au crédit. D’autres y voient des opportunités de développement pour répondre à de nouveaux besoins sociaux et écologiques. C’est dans ce contexte particulier que France Active annonce un renforcement de son soutien financier avec une nouvelle offre d’investissement en mobilisant tout le potentiel de l’épargne solidaire de nos concitoyens.
Cette nouvelle offre a pour but d’aider les entrepreneurs engagés à pérenniser leurs structures, à franchir des caps et à changer d’échelle, grâce à différentes solutions :

  • Des financements accessibles et adaptables aux acteurs de l’ESS : taux d’intérêts, modalités de remboursement ajustables, plafond d’intervention allant jusqu’à 2 millions d’euros.
  • Des capitaux patients avec pour certains produits financiers des taux de remboursement révisables à la baisse, en fonction de l’atteinte d’objectifs sociaux et environnementaux et des solutions de long terme afin de préserver le développement des structures.
  • Un accompagnement et des interventions sur les phases clés de leur développement afin de favoriser et sécuriser leurs transitions.
  • Une capacité de mise en réseau des dirigeants avec les acteurs financiers et économiques, tant au niveau national que dans les territoires. (140 points d’accueil de France Active, en métropole comme en Outre-mer)

Parcours de l’épargne : de l’épargnant au projet financé


En 5 ans, France Active a mobilisé 200 millions d’euros au profit de plus de 2 000 structures de l’Économie sociale et solidaire dans leur projet d’entreprise. Ces structures ont un taux de pérennité à 5 ans de 87% contre 61% pour l’ensemble des entreprises (Insee).

Des entreprises à l’honneur dans “Impacts solidaires”le podcast de France Active pour le mois de l’ESS

 

En ce mois de l’ESS, France active met à l’honneur des parcours de vie hors du commun, d’entrepreneur.es, engaé.es. Une série de 5 podcasts « Impacts solidaires », réalisée par France Active avec le soutien financier de Mirova Foundation, à retrouver tous les mardis de novembre sur les différentes plateformes. Pour écouter la bande annonce ici.

1 La 2ème édition de l’étude OpinionWay pour France Active a été réalisée en septembre 2023 auprès d’un échantillon de 1009 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus – Retour
2Source : Observatoire de la finance à impact social de FAIR –
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France Active à Mayotte


Montreuil, le 28 juin 2023

Afin de contribuer au développement économique, social et écologique de Mayotte, France Active s’implante sur ce territoire. 

Depuis septembre 2022, France Active porte un projet à Mayotte, afin de proposer son offre de service et de financement aux entrepreneurs engagés mahorais. A l’issue d’une période d’expérimentation de 2 ans, l’objectif est de créer l’association territoriale France Active Mayotte et ainsi poursuivre le développement du mouvement France Active en outre-mer.

Depuis presque 20 ans, France Active a financé plus de 1100 projets en outre-mer au travers de ses trois implantations existantes, à la Réunion, Saint-Martin et en Martinique. Les associations guyanaise et guadeloupéenne de France Active viennent de voir le jour. 

 

Ce dynamisme est également visible à l’échelle nationale. Avec plus de 35 500 entreprises accompagnées partout en France en 2022, France Active a permis la création et la consolidation de 60 000 emplois. 

Premier mouvement associatif sur l’entrepreneuriat engagé, France Active a mobilisé 492 millions d’euros en 2022, sous forme de prime, garantie, et financements solidaires.

A Mayotte, l’expérimentation de France Active est soutenue par les acteurs locaux et des partenaires publics (ministère des Outre-Mer, Conseil Départemental de Mayotte, Préfecture et Banque des Territoires).

 

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France Active s’implante durablement en Guadeloupe

 

Paris, le 28 juin 2023

Après deux années de préfiguration, l’association territoriale France Active Guadeloupe a vu le jour, mercredi 28 juin. M. Dominique Virassamy, représentant du SNEG (Sauvez Notre Entreprise Guadeloupéenne) a été élu président à l’unanimité pour 3 ans.
Née d’une collaboration étroite entre l’association nationale France Active, la Banque des Territoires et sous l’impulsion de la Région Guadeloupe, la création de l’association France Active Guadeloupe marque la volonté régionale de déployer des outils de financement adaptés à destination des structures de l’Économie sociale et solidaire et des entreprises dont les TPE qui composent plus de 85% du tissus économique du territoire.
Soucieuse de donner à chacun les mêmes chances d’accéder au crédit bancaire et à la possibilité de créer et de développer des projets d’utilité sociale, France Active initie depuis plusieurs années une action de développement dans les territoires ultra-marins. Installé à l’assemblée générale constitutive du 28 juin dernier, le conseil d’administration de l’association France Active Guadeloupe est composé des membres fondateurs : France Active, la Région Guadeloupe et la Caisse des Dépôts, ainsi que des partenaires institutionnels et économiques à travers : le Conseil Départemental, les EPCI du territoire (Etablissement public de coopération intercommunale), la CCI, la Cress de Guadeloupe, le Crédit Mutuel, la CEPAC (Caisse d’Epargne couvrant la Région PACA et les territoires ultra-marins). Deux représentants de la société civile ont également intégré le conseil d’administration dont Dominique Virassamy du SNEG (Sauvez Notre Entreprise Guadeloupéenne) élu président de l’association le 28 juin dernier.Depuis janvier 2021, grâce à la présence de deux conseillères sur le terrain, France Active a accueilli, sensibilisé et accompagné 611 structures guadeloupéennes et a accordé 86 financements pour un montant total de 1,45 million d’euros sous forme de prime, de garantie bancaire et de financement. Après la Martinique, la Réunion, Saint-Martin, et très récemment, la Guyane, France Active s’implante durablement sur le territoire de Guadeloupe.

Pour Dominique Virassamy, président de France Active Guadeloupe
Au cours de ces deux années de préfiguration, France Active a conseillé, financé et mis en réseau de nombreux et beaux projets guadeloupéens. Pleinement implantée sur le territoire, France Active participe à sa dynamique sociale, écologique et économique. La création de l’association territoriale vient officialiser tout le travail accompli et augure de belles perspectives.
C’est un honneur pour moi que de présider cette structure au bénéfice des entrepreneurs engagés guadeloupéens.

Pour Pierre-René Lemas, président de France Active
Au cours de ces deux années de préfiguration, France Active a conseillé, financé et mis en réseau de nombreux et beaux projets guadeloupéens. Pleinement implantée sur le territoire, France Active participe à sa dynamique sociale, écologique et économique. La création de l’association territoriale vient officialiser tout le travail accompli et augure de belles perspectives.
C’est un honneur pour moi que de présider cette structure au bénéfice des entrepreneurs engagés guadeloupéens.

Pour Marie-Luce Penchard, vice-présidente de la région
Conscients des difficultés qu’ont les banques aujourd’hui à s’engager aux côtés des structures les plus fragiles comme celles qui relèvent de l’ESS mais aussi les très petites entreprises ; nous avons choisi de nous engager pour élargir l’offre de financement et renforcer l’économie locale. Cela doit permettre de réduire les risques supportés par les banques et à terme, de faire émerger de nouveaux modèles économiques plus pérennes et qui correspondent à la réalité du territoire.

Pour Christophe Laurent, directeur régional Antilles-Guyane de la Banque des Territoires
La Banque des Territoires est un partenaire historique de France Active, qu’elle contribue à doter financièrement pour mettre en place les outils financiers (fonds propres, dette et garantie d’emprunt) distribués par le Réseau France Active. Une représentation permanente de France Active en Guadeloupe, permettra aux acteurs de l’ESS et aux entrepreneurs engagés Guadeloupéens, de bénéficier de ces financements auxquels ils n’ont pas accès aujourd’hui. C’est un enjeu majeur pour soutenir un secteur d’activité pourvoyeur d’emploi non délocalisables, dont le poids est particulièrement important dans l’économie Guadeloupéenne.





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Deux exemples d’entrepreneurs soutenus
par France Active en Guadeloupe

Initiative France Victimes Guadeloupe

Trouver un emploi, un logement, créer une entreprise mais aussi aider les adolescents à trouver des formations… telles sont quelques-unes des actions de l’association Initiatives France Victimes Guadeloupe. Créée en 1997 à l’initiative de femmes de la région sud de Basse-Terre, l’association vient en aide aux personnes en difficulté.
Progressivement, l’association s’est structurée, elle s’est dotée de juristes, d’assistantes sociales, d’un service d’aide à l’accès au logement… L’association oriente, si nécessaire, vers des psychologues, des médecins ou d’autres professionnels comme des avocats.
Les besoins sont assez prégnants sur le territoire : en 2022, l’association a accompagné près de 1800 personnes (elle en accompagnait 700 il y a 4 ans).

Association Birmingh’art

Venir en aide aux personnes en situation d’exclusion, telle est la mission que s’est donnée Birmingh’art. Cette association, initialement fondée autour de l’art, a fait évoluer assez vite son objet social pour se concentrer sur l’accompagnement par le travail de personnes en situation d’exclusion. Agroécologie, recyclage de palettes, métiers du bâtiment sont des moyens permettant aux personnes soutenues par l’association de remettre le pied à l’étrier. Deux mots d’ordre pour avancer au sein de la structure : apprendre à faire soi-même et jouer collectif.

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> Comment contacter France Active Guadeloupe ?

France Active Guadeloupe
39 boulevard Légitimus
Immeuble de la Mutualité Française
97110 Pointe à Pitre
guadeloupe@franceactive.org

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