La Banque Alternative Suisse entre au capital de France Active Investissement à hauteur de 2 millions d’euros. Un soutien supplémentaire pour financer les projets des entrepreneurs les plus engagés.
France Active Investissement est la société d’investissement solidaire de France Active. Elle a pour objectif de renforcer la structure financière des entreprises solidaires et des associations d’utilité sociale.
En juin 2022, la Banque Alternative Suisse est entrée au capital de France Active Investissement à hauteur de 2 millions d’euros, aux côtés de nombreux acteurs publics, privés, du secteur bancaire et de la protection sociale. En commun pour ces deux structures : des valeurs partagées et une volonté de soutenir plus largement le développement de projets portés des entrepreneurs engagés sur les questions sociales et écologiques.
“Nous sommes fiers de devenir actionnaire de France Active Investissement.” déclare Nicole Bardet, Membre de la direction générale à la Banque Alternative Suisse. “Supporter les entrepreneuses et entrepreneurs qui apportent des réponses aux défis sociaux et environnementaux de nos sociétés est une mission clé de notre banque. Grâce à cet investissement que nous souhaitons de long terme nous renforçons notre impact dans ce sens.”
La Banque Alternative Suisse considère son activité comme une alternative solidaire et viable à la logique économique du profit à court terme. Les fonds de la clientèle sont investis à long terme dans l’économie réelle. Elle ne propose pas de produits bancaires spéculatifs.
« Notre entrée au capital de la société d’investissement va nous permettre de financer des initiatives engagées dans des domaines aussi variés que l’agriculture durable, l’inclusion sociale, les énergies renouvelables, la mobilité durable…” poursuit Nicole Bardet. “Le rôle clé que joue France Active dans l’accès au crédit bancaire pour ces initiatives, et ce même de petite taille et dans les phases critiques de la vie d’un projet, nous rappelle que la lutte pour une finance plus solidaire passe par la coopération entre de multiples acteurs : les banques, le monde associatif mais aussi les institutions publiques et les régulateurs.” »